Une nouvelle apprentie

On sonne à la porte de mes appartements privés au temple de Korriban , je l'ouvre lentement pour découvrir une sublime jeune femme, aux vêtements en lambeaux causés par les épreuves des acolytes qu'elle venait de passer avec succès. Ces haillons laissent entrevoir les formes de son corps; Je distingue le galbe de ses seins et remarque tes tétons qui se redressent fièrement sous sa tunique. Elle ne porte rien d'autre qu'une très courte jupe à travers laquelle la lumière artificiel du dehors laisse deviner le prolongement de ses cuisses sous ce léger tissus. Elle me laisse imaginer son sexe, magnifique, d'une douceur telle à de la soie, aux lèvres délicates n'attendant qu'à s'ouvrir comme les pétales d'une fleur. Cette vision de fantasme fait monter en moi un désir que je parviens à peine à dissimuler. Ses longs cheveux retombent sur ses épaules en une cascade majestueuse et sa bouche, oui sa bouche est déjà pour mes yeux, l'objet de pensées érotiques que je ne peux contrôler.

je la fais entrer après quelques civilités banals et sans intérêts tant mon excitation commence déjà à monter en moi. A peine entrée dans la pièce, je la plaque contre un mur en utilisant mes pouvoirs et déchiquette ce qui lui reste de vêtement. Je m'approche d'elle et plaque aussitôt mes mains sur ses seins, je les masses, les malaxes avec passion, et me met à l'embrasser dans le cou. Ellr sens alors ma langue longer toute sa nuque de la base jusqu'à son oreille ou j'en mordille tendrement le lobe.  Elle ne sais plus quoi dire, elle ne sais plus quoi faire, elle penche légèrement la tête sur le côté me permettant ainsi de repousser ses cheveux vers l'arrière afin de dévoiler sa nuque à mon regard. Je l'embrasse doucement, passe ma langue en de petits coups délicats derrière son oreille et sur le lobe, jouant au passage avec le bijoux qui la met si bien en valeur. Au travers mon pantalon, elle sens déjà mon excitation grossir et venir se frotter contre elle.

:Maître! Que faites vous ?: gémit t-elle

Sans dire mot, je me met à caresser ses cuisses pour ensuite venir jouer avec sa petite chatte qui est déjà humide sur laquelle ma main s'active déjà de plus en plus fort. Et pendant je pince son petit clitoris entre mes doigts, le masse, le tord et enfonce mes doigts en elle.

: Tu aime ça mon apprentie ? :
: Oui mon maître ! :

La maintenant plaqué au mur par la Force je me met à genoux entre ses jambes, je remonte mon visage vers son sexe en prenant bien le temps de laisser courir ma langue le long de ses cuisses jusqu'à ce que celle ci puisse se faufiler vers sa chatte. j'écarte les pétales de cette fleur avec mes mains me donnant un accès bien ouvert vers son orifice de plaisir et y enfonce ma langue,  je la lèche encore et encore, découvrant et savourant chaque recoin de son sexe trempée et partant de son cul tout en remontant vers son clitoris je plaque ma langue et la lèche comme un chien assoiffé.  A chaque passage, je prends le temps d'aspirer son clitoris dans ma bouche, l'aspirer en une succion si intense qu'elle fait jaillir un torrent de mouille. Je l'aspire, le pince entre mes dents, joue avec,  le fait rouler entre mes lèvres, le torture avec tant d’insistance que ses gémissement deviennent plus intense, que son souffle devient court et haletant et je sens ses mains se poser sur ma tête et maintenir ma face bien enfoncée contre sa chatte qui n'en peut plus, qui mouille comme jamais en un fleuve ininterrompu qui coule le long de ses cuisses, que je récupère du bout de la langue et des doigts pour m'en servir pour dilater son joli cul dans le quel un doigt commence à s'enfoncer.